John’s à New York, explore la face la plus sombre de l’ancien tyran rouge, au sadisme aigu : "Il évitait d’assister aux séances de torture ou aux exécutions, mais il prenait un malin plaisir à entendre les récits de ses sbires sur les derniers instants de leurs victimes." Staline était un politicien brillant capable de rester en retrait au bon moment, de feindre, ou même de s’aligner sur le consensus, tout en glissant subtilement des remarques qui pouvaient faire pencher la balance d’un côté ou de l’autre, le tout en donnant l’impression de jouer collectif. Il admire de toute évidence Staline et aspirerait certainement à avoir autant de pouvoir tant ce dernier a maîtrisé l’art de la tyrannie : il a pris le pouvoir, l’a conservé et en est mort dans son lit.
Author: Laurent Berbon
Published at: 2025-12-06 06:45:00
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