La Convention européenne pour la prévention de la torture, ratifiée par les 46 États membres actuels du Conseil de l'Europe, vise à protéger les personnes détenues de possibles violences et prévoit notamment des contrôles dans les prisons. Mais deux rapporteurs spéciaux des Nations unies ont déclaré en septembre que la décision de se retirer de la convention soulevait "des drapeaux rouges" concernant la situation dans les lieux de privation de liberté en Russie. La semaine dernière, un rapport de l'Organisation pour la sécurité et la coopération en Europe (OSCE) a estimé que la Russie était responsable de "graves violations" du droit international contre les prisonniers de guerre ukrainiens pouvant "constituer des crimes de guerre et, dans certains cas, peut-être des crimes contre l'humanité".
Published at: 2025-09-29 14:34:28
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