Leurs mains creusent la terre sèche avec un outil bricolé : un bâton prolongé d’un fil de cuivre et d’un morceau de charbon. «Je fais ça parce qu’il n’y a pas de travail, souffle Ahmad, 32 ans, le visage couvert de poussière. Aujourd’hui, on le fait en plein jour, personne ne vient nous arrêter.» Depuis cinq mois, il creuse le même trou, espérant tomber sur un objet assez précieux pour payer ses dettes.
Author: Mohamed Errami
Published at: 2025-11-02 07:00:00
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