Une balade à Chambourcy, dans l’antre du fauve André Derain

Une balade à Chambourcy, dans l’antre du fauve André Derain


Le parc qui l’entoure, même amputé d’un tiers de sa surface après la mort de l’artiste, reste de taille respectable. Sur le montant d’un chevalet reposent les casquettes de l’artiste, non loin de petits modelages en argile : « Ma mère me raconta qu’avant la guerre, se souvient Geneviève Taillade, la tempête avait déraciné un sapin du jardin, exhumant une grosse quantité de terre qui donna à Derain l’idée de modeler des masques. Pour retrouver un peu de ce parfum de frivolité, il faut gagner, ensuite, l’autre joyau de Chambourcy : le désert de Retz, à 2 kilomètres au sud.

Author: Jean-Baptiste Duchenne


Published at: 2025-07-05 04:02:01

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