“TotalEnergies regrette que les auteurs [...] ne se soient pas déplacés au Mozambique et n’aient pas mené d’investigation sur le terrain par eux-mêmes, mais aient produit un rapport fondé principalement sur des informations collectées par des tiers”, a réagi l’entreprise dans un communiqué. Les quatre récits — d’un survivant, d’une personne qui connaissait l’un des détenus et de deux témoins oculaires — ont été recueillis indépendamment les uns des autres et de POLITICO, qui n’a pas été informé que le think tank Clingendael, financé par le gouvernement, menait une nouvelle enquête sur le massacre. Ils fourniront des éléments supplémentaires à une plainte pénale accusant TotalEnergies de complicité de crimes de guerre en ayant “directement financé et matériellement soutenu” les soldats mozambicains qui protégeaient son site d’une insurrection par des assaillants liés à l’Etat islamique.
Author: Alex Perry
Published at: 2025-12-04 18:32:15
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