Après avoir déjà exploré le concept des voyages temporels avec l'épisode Time to Kill, ce nouvel opus devait en remettre une couche : le principe, c'était de commencer de nos jours (et dans un club de strip-tease, parce que c'est Duke Nukem) avant de faire un bond dans le passé, en pleine Seconde Guerre mondiale. Considérée comme "terminée à 90 %" par la personne qui l'a mise en ligne, cette version de 2001 ne possède pas de doublage, ni de cinématique, mais exhibe toutefois de façon très authentique à quoi aurait dû ressembler ce TPS sur PS2. Alors oui, c'est old-school et ça manque clairement de finition (en même temps, il y avait encore deux ans de gestation derrière avant son annulation), mais c'est jouable et même accessible avec toutes les options de développeurs en prime.
Author: Max Cagnard
Published at: 2025-06-14 09:16:00
Still want to read the full version? Full article