Des centaines de personnes, accusées d'appartenir au gang Tren de Agua, ont été envoyées par les États-Unis dans cette prison de haute sécurité mise à disposition par le président Nayib Bukele. Les anciens détenus disent avoir été battus, forcés de boire de l'eau croupie, aspergés à de nombreuses reprises par du gaz lacrymogène jusqu'à la perte de connaissance, forcés de rester à genoux pendant des heures, noyés, agressés sexuellement, violés, poussés au suicide… Ils affirment également que les gardiens leur assuraient qu'ils allaient mourir entre ces murs, oubliés du reste du monde. Surtout, pour le président américain, cela permet de présenter le régime de Nicolas Maduro comme une menace sécuritaire majeure pour les États-Unis.
Author: Le Point.fr
Published at: 2025-11-09 20:48:00
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