La nouvelle politique de Microsoft, qui met désormais l'accent sur une ouverture presque totale de ses franchises à la concurrence, est en réalité une occasion exceptionnelle pour les joueurs PlayStation : il s'agit de lâcher sa prétendue appartenance à un camp et, enfin, de goûter au festin. Comme une sérénade à jouer toutes les décennies, Gears 1 revient pour mieux rappeler qu'il a instauré sans pression la base de bien des TPS après lui, y compris chez la concurrence (coucou Uncharted, qui a opté pour un système de couverture inopiné après la baffe de Gears of War). Régulièrement, on nous incite à appuyer sur un bouton pour jeter un œil à des événements dans l'environnement, les personnages parlent souvent et l'on doit jongler momentanément avec de nouvelles mécaniques (éviter l'obscurité pour éviter de se faire bouffer tout cru par des aliens, marcher sur de fragiles planches en bois, conduire un véhicule, diriger la lumière sur des ennemis et l'on en passe).
Author: Max Cagnard
Published at: 2025-08-30 06:01:00
Still want to read the full version? Full article