Test : Call of Duty : Black Ops 7 mérite la cour martiale et le retrait de ses médailles

Test : Call of Duty : Black Ops 7 mérite la cour martiale et le retrait de ses médailles


Puisque Call of Duty : Black Ops 2 se déroulait en 2025, et que nous sommes présentement en 2025, Call of Duty : Black Ops 7 ramène les protagonistes David Mason, Harper, Karma et Menendez, mais poursuit aussi l'intrigue de Call of Duty : Black Ops 6 en ramenant l'arme biologique "Berceau", pour enfin livrer une très mauvaise parodie de la campagne de Call of Duty : Black Ops 3 où le goulag de Vorkuta (Call of Duty : Black Ops) devient une grosse chasse aux zombies. Il y a bien quelque satisfaction à trouver pour les gros malades de FPS qui veulent juste enchaîner les kills jusqu'à se dérégler les récepteurs de dopamine (c'est mon cas), mais il est difficile de vraiment chanter les louanges de Black Ops 7 quand Black Ops 6 est à portée de main et qu'il jouit déjà des bienfaits de l'omnimouvement pour se jeter dans tous les sens. Il s'agit d'une histoire de gorille cosmique, de zombies par milliers et de power-ups débiles, avec des tonneaux qui explosent partout, des sessions karting incongrues et un mode temporaire à la première personne où l'on moissonne les morts-vivants par rafales de fusil à pompe qui ressemblent à des gros coups de râteau dans un espace de sable zen.

Author: Cael


Published at: 2025-11-17 18:01:00

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