Ils sont cinquante – la moitié de la chambre haute – à s’être accordés mardi 1er avril sur de « lourdes » sanctions à l’encontre de la Russie, si elle « refuse de s’engager de bonne foi dans des négociations pour une paix durable avec l’Ukraine ». « Tout ce que nous avons aujourd’hui, c’est une tentative de trouver une sorte de cadre qui permettrait d’abord un cessez-le-feu », a-t-il poursuivi, déplorant qu’« il n’y ait pas de place dans ce cadre » pour la « principale demande » des Russes : « la résolution des problèmes liés aux causes profondes » du conflit en Ukraine. Pour le moment, le Kremlin semble refuser d’entendre parler de trêve si l’Ukraine ne se démilitarise pas, ne renonce pas à rejoindre l’Otan et ne reconnaît pas l’annexion de la Crimée et de certaines régions à l’Est, occupées par les Russes.
Author: Maxime Dhuin
Published at: 2025-04-02 15:00:10
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