Pour Michel et Marie-Madeleine, croisés devant la plage des Minimes, à La Rochelle, hors de question de toucher à la commémoration de la victoire sur le nazisme. «Si on doit faire des économies je pense que c’est plutôt dans le budget de la défense.» «Ça, vu le contexte, c’est peut-être pas une bonne idée…», intervient Léo, 19 ans, étudiant en Staps, qui préférerait conserver les deux jours fériés mais qui comprendrait la suppression de «l’un des deux, plutôt le lundi de Pâques», pour financer un éventuel effort de guerre. Notre fille est en grande section de maternelle, elle n’a pas de maîtresse pour la rentrée», regrette cette ingénieure âgée de 39 ans, croisée sur la promenade du port de plaisance.
Author: Gilles Caprais
Published at: 2025-07-16 17:49:01
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