Les paramilitaires des Forces de soutien rapide (FSR) contrôlent la majeure partie de la ville depuis le début du conflit pour le pouvoir opposant le chef de l’armée, Abdel Fattah al-Burhane, à son ex-adjoint, le général Mohamed Hamdane Daglo, chef des FSR. Début mai, Khartoum a rompu ses relations diplomatiques avec les Émirats, après que des frappes de drones attribuées aux FSR ont touché la ville de Port-Soudan, marquant les premières attaques sur la capitale de facto du pays divisé. La guerre entre les généraux a fait des dizaines de milliers de morts et déplacé 13 millions de personnes, soit près d’un quart de la population, selon l’ONU, qui qualifie le conflit de « pire crise humanitaire actuelle ».
Author: Jeune Afrique avec AFP
Published at: 2025-06-01 14:50:06
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