Ce dernier assurait alors la vice-présidence du Conseil de souveraineté, en plus de diriger les Forces de soutien rapide (FSR) – un puissant groupe paramilitaire mis sur pied par le dictateur Omar el-Béchir afin de contrer les rebelles darfouris. Au milieu de ce chaos, le général Burhane, à la tête d'un gouvernement de facto relocalisé dans la ville côtière de Port-Soudan, à 800 kilomètres à l'est de Khartoum, poursuit sa quête de légitimité auprès de la communauté internationale. « Kamil Idris a cherché à devenir Premier ministre depuis la révolution de décembre 2018, puis après le putsch et depuis le déclenchement de la guerre », ajoute un proche de Hamdok.
Author: Augustine Passilly
Published at: 2025-05-21 18:00:00
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