En ce mois de novembre, Sharon Eyal et Gai Behar ont délaissé leur maison à l’orée de la forêt de Barbizon. Un Airbnb au nord de Paris leur sert de camp de base pour enchaîner les premières de « Delay the Sadness », à Bakou en Azerbaïdjan ou à Sankt Pölten en Autriche, tout en retrouvant au plus vite leurs deux grands enfants. La cocréation, devrait-on dire : la chorégraphe, née à Jérusalem et installée en France, couronnée par le succès du triptyque « OCD Love », « Love Chapter 2 », « The Brutal Journey of the Heart », et à qui le Nederlands Dans Theater, le Ballet de l’Opéra de Paris ou la GöteborgsOperans Danskompani passent commande, signe en effet toutes ses variations virtuoses avec son compagnon Gai Behar, autrefois night-clubber et commissaire d’événements artistiques à Tel-Aviv.
Author: Marie Guichoux
Published at: 2025-11-30 14:00:17
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