Ses parents, ses regrets, la peur de la mort… On a assisté à la master class de Robert De Niro

Ses parents, ses regrets, la peur de la mort… On a assisté à la master class de Robert De Niro


De son art, suppose-t-on, ou tout du moins de sa prodigieuse carrière – 127 films, une quinzaine de chefs-d'œuvre (Taxi Driver, Le Parrain 2, Raging Bull, Voyage au bout de l'enfer, Il était une fois en Amérique, Casino…), une empreinte indélébile sur le cinéma américain, une place tellement à part qu'il se retrouve désormais à jouer face à lui-même (The Alto Knights). Cet homme de peu de mots garde tout, souligne JR, l'atelier du père, donc, où il invite ses enfants à venir travailler, les costumes et les accessoires qu'il peut glaner sur les tournages, ses scripts annotés – « Je les garde pour la postérité, je suppose », concède l'acteur, qui a confié ses archives à l'université du Texas – mais aussi l'intégralité de sa correspondance avec sa mère ou encore d'innombrables films de famille. » On apprend que la mère de De Niro, Virginia Admiral (morte en 2000), était elle aussi peintre et que, lors d'une des visites de JR au studio du père, « on s'est rendu compte qu'une toile qu'on croyait de ton père était de ta mère »…

Author: Florence Colombani


Published at: 2025-05-14 16:55:00

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