Le site de celle-ci accusait dans le même temps l’organisateur de la manifestation d’être un contempteur du « génocide de Srebrenica », en clair un traître à la nation serbe. À l’origine, la mort de 16 personnes le 1er novembre dans l’effondrement d’un auvent en béton de la gare de Novi Sad. « Depuis le début des manifestations, ce qui est très choquant pour les étudiants, qui ont le sentiment de défendre les valeurs européennes dans la rue, c’est le silence assourdissant de l’Union européenne », constate Jean-Arnault Dérens.
Author: Francis Brochet
Published at: 2025-03-29 19:50:00
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