Interrogé sur le point de savoir s’il a été « victime de [ses] prises de position » ou de « [ses] écrits », Boualem Sansal a répondu par la négative, estimant visiblement qu’ils ne sont pas la raison du traitement que lui ont réservé les autorités algériennes. La lecture de ce contenu est susceptible d’entraîner un dépôt de cookies de la part de l’opérateur tiers qui l’héberge. « Je ne vous parle pas de manière naturelle, parce que naturellement, je suis plutôt exubérant, là je contrôle chacun de mes mots », a souligné l’écrivain, expliquant avoir en tête les tensions diplomatiques persistantes entre Paris et Alger, mais aussi le sort des « dizaines de détenus politiques », dont le journaliste Christophe Gleizes.
Author: Maxime Dhuin
Published at: 2025-11-23 20:02:45
Still want to read the full version? Full article