Elle vise : "le soutien affiché par des élus et représentants de mouvements politiques à des individus ou organisations liés à des réseaux soutenant l'action terroriste ou propageant l'idéologie islamiste", "la participation d'élus et représentants de mouvements politiques à des événements, rencontres ou manifestations en commun avec des individus ou organisations liés à des réseaux soutenant l'action terroriste ou propageant l'idéologie islamiste", "le recours à des pratiques clientélistes par des mouvements politiques", et "le risque d'entrisme lors des prochaines échéances électorales de la part d'individus, d'organisations ou de réseaux ayant pour objectif de saper les fondements de la République et de la laïcité". Outre ces profils, les députés de la commission ont entendu des sondeurs, comme François Kraus, directeur de pôle opinion à l'Ifop, des préfets, des ambassadeurs, des acteurs des services de renseignement et des hauts responsables des questions de sécurité, à l'instar de Nicolas Roche, secrétaire général de la défense et de la sécurité nationale (SGDSN). "Au regard de la composition de ce bureau d'enquête, qui ne respecte pas la représentativité de toutes les sensibilités, et malgré [ses] observations lors de cette installation", le groupe PS "a décidé que nous n'assumerions pas la présidence", a poursuivi la députée auprès de LCP.
Author: franceinfo
Published at: 2025-12-06 06:03:46
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