« Je pense que tout le monde est très inquiet de comment vont sortir leurs enfants, leur époux… On a très peur qu’ils (le Hamas, ndlr) les aient gavés avant pour ne pas donner l’image squelettique que nous avons déjà vue sur des otages précédemment libérés. Il y a beaucoup de psychologues qui travaillent pour aider à des solutions presque de société parce que ce n’est pas que les otages qui reviennent traumatisés : ce sont les familles, ce sont les soldats, ce sont les survivants… Il y a une maison de survivants qu’on soutient beaucoup avec le collectif. Je crois que ce qui remonte le plus c’est “Je vais enfin pouvoir couper mon bracelet” parce qu’on a tous un bracelet jaune au bras de festivalier, comme à Nova, avec écrit dessus “à couper au retour de tous les otages”.
Author: Alice Boivineau
Published at: 2025-10-12 17:30:00
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