La raison est unique, mais tient de ce qui devrait toujours être l'objectif d'une politique étrangère et de défense en temps incertains : une telle option ne correspond pas à l'intérêt national – ni de la Belgique, ni de la France, ni du Royaume-Uni, ni d'aucun État européen. Pour rappel, les simulations de conflit nucléaire entre le bloc occidental et la Russie (et/ou la Chine) indiquent quel serait le pays rayé de la carte en premier, et serait le seul à être entièrement dévasté : la Belgique. Deuxièmement, il convient d'enfin répliquer à la vaste et constante attrition digitale russe, largement impunie, en appliquant une stratégie ambitieuse d'opérations d'information et cyber-agressives en territoire russe, en veillant à établir un "déni plausible" quant à leur source (c'est-à-dire en assurant notre capacité à nier toute implication dans ces opérations, faute de preuves directes).
Author: Contribution externe
Published at: 2025-03-30 08:16:01
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