Dans les colonnes de La Tribune Dimanche, le ministre des Affaires étrangères a mis en avant les efforts des Européens pour peser dans les discussions, « avec une seule obsession : la paix pour l'Ukraine et la sécurité pour l'Europe ». « Nous nous sommes assurés que ce qui relève de décisions européennes ne puisse en aucun cas être acté sans nous », a-t-il expliqué, citant alors « le processus d'adhésion de l'Ukraine à l'Union européenne », « les actifs russes immobilisés en Europe », « la réintégration de la Russie au G7 » ou « la sécurité européenne ». Pourtant, la menace de la saisie des avoirs russes pour financer l'effort de guerre ukrainien s'est heurtée au veto de la Belgique (le pays détenant une majorité des 185 milliards d'euros gelés), qui craint des répercussions de Moscou.
Author: Nathan Joubioux
Published at: 2025-11-30 08:57:00
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