"Si les chars de l’OTAN étaient appelés à intervenir en cas d’invasion des forces russes à la frontière orientale de l’Union européenne, ils resteraient bloqués dans des tunnels, provoqueraient l’effondrement de ponts et seraient bloqués par les protocoles frontaliers", alerte Apostolos Tzitzikostas. "En Pologne, le port de Gdynia travaille à l’amélioration de son quai pour le chargement et le déchargement des navires, et le port de Szczecin renforce sa capacité à transporter des troupes et des marchandises", illustre le WSJ. Pour rappel, l’accord conclu entre les alliés de l’OTAN vise désormais à porter l’objectif d’investissements dans la défense à 5 % du PIB - dont 1,5 % alloué aux infrastructures et à la protection, comme les transports ou le renforcement de la cybersécurité.
Author: L’Express
Published at: 2025-07-29 15:12:39
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