Il a eu jusqu’à une vingtaine de plaques chez lui avant de faire du ménage, se séparant d’une grosse partie de sa collection sur des braderies. Dans son salon trône une plaque de rue volée par des amis, qui lui rappelle la déportation du père de son beau-père à la fin de la Seconde Guerre mondiale. Deux habitants qui lui demandaient ce qu’il trafiquait et à qui il a tenté, en vain, de faire croire qu’il était juste en train de faire pipi.
Author: Mikaël Libert
Published at: 2025-07-20 07:47:36
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