En échange de ces 48 libérations, Israël doit relâcher 250 Palestiniens détenus pour des "raisons de sécurité", dont de nombreux condamnés pour des attentats meurtriers anti-israéliens, et 1 700 Palestiniens arrêtés à Gaza depuis le début de la guerre. Les "prisonniers relevant de la sécurité nationale ont été transférés vers les centres d'expulsion des prisons d'Ofer [en Cisjordanie occupée] et de Ktziot [dans le sud d'Israël], en attendant les instructions des autorités politiques et la poursuite des opérations pour permettre le retour des otages en Israël", a écrit l'administration dans un communiqué. L'enjeu pour le CICR, détaille le porte-parole de l'ONG, est donc "d'être préparé à des imprévus, à différents types de scénarios", du lieu de libération des otages à la mobilisation de spécialistes, "qualifiés sur le plan médical et sur le plan psychologique".
Published at: 2025-10-12 16:35:08
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