Mais le non-respect des quotas de la part de certains pays membres, comme le Kazakhstan et l'Irak, "constitue un facteur de soutien à la décision", précise Giovanni Staunovo, analyste d'UBS, à l'AFP. En ouvrant les vannes, l'Arabie saoudite, qui est le pays dont la voix compte le plus au sein du cartel, mettrait en fait la pression sur les membres qui dépassent leurs objectifs de production en faisant fondre les profits et en limitant la capacité de certains membres à produire plus que leurs quotas. Mais la guerre a plutôt conforté l'Opep+ dans sa décision de procéder à l'augmentation de la production "dans le cas improbable où la capacité de production et d'exportation de l'Iran serait perturbée", explique M. Hansen.
Author: Belga Belga
Published at: 2025-07-05 11:28:21
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