Volodymyr Zelensky a de son côté exprimé son souhait que le président américain soit présent aux négociations, alors que la position du président américain semble évoluer en faveur de l’Ukraine, marquant un tournant depuis la réunion crispée entre Volodymyr Zelensky et Donald Trump à la Maison-Blanche en mars dernier. Y figurent entre autres l'arrêt définitif de la guerre, le retour des enfants ukrainiens déportés en Russie, le déploiement de troupes européennes pour veiller au maintien de la paix, ou encore l'épineuse question de l'adhésion de l'Ukraine à l'Otan, dont Keith Kellogg a estimé qu'elle "pourrait ne pas advenir dans un futur proche". Berlin a tenu un discours similaire, déclarant que la Russie serait visée par un nouveau train de sanctions, en l’absence de "réel progrès cette semaine", et a appelé la Russie à faire "un pas décisif" pour la paix en Ukraine.
Author: L’Express
Published at: 2025-05-14 15:30:00
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