A l’heure où les bombes déchirent les silences millénaires des villes du Levant, où des civils — femmes, enfants, vieillards — sont à nouveau les premières victimes de décisions prises loin de leurs foyers, il est essentiel de rappeler ceci : Dieu ne bénira pas la guerre. Dans De pace fidei (La paix de la foi), écrit après la prise de Constantinople par les Ottomans, il imagine un dialogue céleste entre des représentants de toutes les religions. Il faut que des croyants, des intellectuels, des leaders spirituels de toutes traditions proclament à haute voix que la guerre n’a rien de sacré, que la foi véritable ne construit pas de missiles, mais des ponts.
Author: La rédaction
Published at: 2025-06-23 15:13:12
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