Dans la troisième ville multiconfessionnelle de Syrie, surnommée la capitale de la révolution pendant le soulèvement populaire de 2011 contre Assad, les multiples barrages de sécurité rappellent la fragilité de la situation. Selon l’ex-prisonnier politique, si les nouvelles autorités n’identifient pas clairement les responsables des horreurs de l’ancien régime, elles vont laisser planer le doute sur la culpabilité de l’ensemble de la communauté. Elles seraient, d’après la femme de loi qui préfère rester anonyme, « motivées par le désir de se venger » de massacres de civils commis dans leurs villages par des loyalistes d’Assad pendant la guerre.
Author: La Tribune Dimanche - Rédaction
Published at: 2025-12-07 06:45:01
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