«Nous ne pouvons plus nous contenter du mot “horreur”, il faut aujourd’hui nommer le “génocide” à Gaza», par 300 écrivains

«Nous ne pouvons plus nous contenter du mot “horreur”, il faut aujourd’hui nommer le “génocide” à Gaza», par 300 écrivains


Dans son poème, Une étoile disait hier, elle avait imaginé pour les habitants de Gaza un abri cosmique, à l’opposé du danger existentiel auquel ils font face − un abri universel, dans lequel ils ne seraient plus, comme depuis des décennies, exclus de l’humanité : «Et si un jour, Ô Lumière / Toutes les galaxies / De tout l’univers / N’avaient plus de place pour nous / Tu diras : “Entrez dans mon cœur / Vous y serez enfin à l’abri” (1).» Israël a détruit les lieux de l’écriture et de la lecture − bibliothèques, universités, foyers, parcs.

Author: Un collectif de près de 300 écrivain·e·s


Published at: 2025-05-26 15:37:15

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