En vertu de la séparation des pouvoirs, le budget du palais ne peut être amendé par les parlementaires et est donc chaque année versé en respectant la demande de la présidence, mais « le chef de l’État a voulu que l’institution montre l’exemple », insiste-t-on au Château. « Aujourd’hui, un accord avec les Insoumis est impossible », tranche un proche d’Olivier Faure, qui estime qu’une dissolution aurait au moins le mérite d’acter la rupture définitive avec Jean-Luc Mélenchon auprès de l’opinion publique et de clarifier les choses à un an et demi de l’élection présidentielle. Le parti de Marine Le Pen réserve les 10 % restants à d’éventuelles « prises de guerre » ou à des circonscriptions favorables, fléchées à la discrétion de la cheffe.
Author: latribune.fr
Published at: 2025-09-28 06:05:00
Still want to read the full version? Full article