Ces frappes arrivent vingt-quatre heures après la décision du président américain, Donald Trump, de fixer à Moscou un ultimatum plus court – de cinquante jours initialement à "dix ou douze jours" – pour mettre fin à l'invasion de l'Ukraine, sous peine de se voir infliger de sévères sanctions financières. "Le régime de Poutine, qui profère également des menaces contre les États-Unis par l'intermédiaire de certains de ses porte-parole, doit faire face à des coûts économiques et militaires qui le privent de la capacité de faire la guerre", s'est empressé de réagir mardi le chef de l'administration présidentielle ukrainienne, Andriï Iermak, sur X. Fidèle à ses habitudes, le Kremlin s'est contenté d'indiquer avoir pris acte de la décision américaine, et regretté "un ralentissement" de la normalisation des relations entre Washington et Moscou.
Author: Valentin Dauchot, AFP -
Published at: 2025-07-29 17:35:46
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