La Commission européenne a opté pour une proposition législative plutôt que des sanctions, car elle peut être adoptée à la majorité qualifiée des États membres plutôt qu'à l'unanimité. Le but est de contourner un veto de la Hongrie et de la Slovaquie, deux pays considérés comme proches de Moscou et fermement opposés à ces mesures. Dans l'hémicycle, l'eurodéputé d'extrême droite (Patriotes) Thierry Mariani, réputé prorusse, a fustigé mardi une "rupture historique", "imposée (...) sans unanimité, et au prix de risques juridiques majeurs pour les États et les entreprises".
Author: AFP -
Published at: 2025-12-17 11:54:05
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