Notre béquille, c'était le film de Kenji Mizoguchi, La rue de la honte (en 1956, le film raconte l'histoire d'une maison de passe du point de vue de cinq femmes – NDLR). En réalisant le film, on s'est rendu compte de toutes ces fragilités et difficultés qui retombent sur les mères dans un monde qui se durcit et se virilise à travers les voix et les comportements des hommes. J.-P. D. : "Au seuil de la vie d'Ingmar Bergman en 1958, Maternité éternelle en 1956 de Kinuyo Tanaka, la première cinéaste japonaise d'après-guerre et Europa 51 de Roberto Rossellini en 1952 dans lequel une femme plutôt bourgeoise (incarnée par Ingrid Bergman – NDLR) perd son enfant et s'ouvre au travail social."
Author: Juliette Goudot
Published at: 2025-06-03 11:13:25
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