Selon une étude de 2020, 1 % de la population mondiale est à l’origine de 50 % des rejets de CO 2 de l’activité aérienne. Récemment, l’ADEME soulignait qu’en cas de forte progression du trafic aérien (de l’ordre de 70 %, comme anticipé par les professionnels du secteur), il serait difficile de répondre à la demande de kérosène vert sans risquer de pénaliser d’autres secteurs d’activité. Les narcotrafiquants rachètent des avions d’affaires qui ont perdu leur autorisation de vol en Amérique du Nord à cause des normes de bruit de plus en plus restrictives, qui ont accéléré le retrait de vieux jets d’affaires même lorsqu’ils sont en parfait état de vol.
Author: Raymond Woessner, Professeur honoraire de géographie, Sorbonne Université
Published at: 2025-01-21 15:27:31
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