Ces louanges s’expliquent par le fait que le président américain les considère comme incontournables pour la négociation d’un futur statu quo régional, et qu’il ne compte pas rompre avec des régimes avec lesquels il entretient par ailleurs de solides intérêts financiers personnels. Le principal “gagnant” de la séquence diplomatique serait ainsi le Qatar, estime le quotidien israélien Times of Israel, qui souligne que Doha, “au lieu d’être puni pour ses liens avec le Hamas”, a été conforté dans son rôle de principal médiateur entre Israël et le Hamas. En plus, le Qatar a eu la satisfaction de voir le Premier ministre israélien, Benyamin Nétanyahou, être “publiquement humilié” en étant contraint par Donald Trump de s’excuser auprès des Qataris pour le bombardement que Tsahal avait lancé sur Doha, le 9 septembre dernier.
Author: Philippe Mischkowsky
Published at: 2025-10-01 14:31:11
Still want to read the full version? Full article