Les cent premiers jours de Friedrich Merz à la chancellerie sans période de répit

Les cent premiers jours de Friedrich Merz à la chancellerie sans période de répit


Pourtant, jusqu'à début août, Merz s'est montré inflexible dans son soutien à Israël, arguant même lors de la guerre de douze jours avec l'Iran, que l'Etat hébreu faisait "le sale boulot" des autres. L'argument de la culpabilité historique de l'Allemagne face à Israël est relégué au second plan, selon Hajo Funke: "Il s'agit de limiter la politique destructrice de Netanyahu à Gaza, au coût humain infini." Par exemple, il avait promis de ne pas toucher au sacro-saint frein à la dette pendant la campagne des législatives, répétant même en février: "il est exclu que nous réformions le frein à l'endettement dans un avenir proche"... pour finalement le réformer quatre petites semaines plus tard.

Author: Salomé Hénon Cohin


Published at: 2025-08-13 11:42:27

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