Friedrich Merz n’a toutefois pas spécifié si ses propos auraient ou non une incidence sur les armes livrées à l’avenir par Berlin à l’Ukraine, en particulier concernant les missiles longue portée Taurus. Avant son entrée en fonction début mai comme chancelier, Friedrich Merz s’était quant à lui dit favorable à la livraison de ces missiles à portée de plus de 500 km, permettant d’atteindre le territoire russe en profondeur. « Il est évident que Poutine considère les propositions de discussions comme une faiblesse », a-t-il encore affirmé, ajoutant que « si même une proposition de réunion au Vatican ne rencontre pas » l’approbation de la Russie, « nous devons nous préparer à ce que cette guerre dure plus longtemps que nous ne le souhaitons ou ne pouvons l’imaginer ».
Author: Timothée Barnaud, avec AFP
Published at: 2025-05-26 16:22:10
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