Il est 9h05, le 16 octobre 2012 quand Antoine Sollacaro se gare à la station essence, sur la route des sanguinaires à Ajaccio, pour, comme tous les matins, acheter son journal. D'après un repenti du Petit Bar, qui sera jugé lui aussi, Jacques Santoni a commandité l'assassinat du ténor du barreau pour s'en prendre à un autre clan, celui d'Alain Orsoni, une figure du nationalisme corse et un temps président du club de football d'Ajaccio. "Il ne faut pas oublier que c'est en sa qualité d'avocat que l'on s'en est pris à mon père, donc c'est l'ensemble de la profession qui sera sur les bancs des parties civiles à l'ouverture du procès", explique-t-il.
Author: franceinfo
Published at: 2025-11-03 10:38:41
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