"D’une manière générale, je dirais qu’on a toujours raison de convoquer l’Histoire dans quelque situation que ce soit, à condition toutefois de bien se rendre compte que comparer, c’est aussi identifier ce qui ne correspond pas" précise Julien Paulus. Le coordinateur du Centre d’études des Territoires de la mémoire souligne ainsi que le contexte des années 30 était animé par une violence beaucoup plus importante, notamment par des milices armées, héritées de la Première Guerre mondiale, qui surpassaient l’armée allemande. Mais de là à dire que les jeux sont faits et que notre avenir est tracé, c’en est trop : "L’Histoire ne repasse jamais les plats, il faut quand même s’en souvenir.
Author: rtbf.info@rtbf.be (Sarah Poucet)
Published at: 2025-04-23 15:27:52
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