Un tel scénario n’était pourtant “pas impensable”, estime la Frankfurter Allgmeine Zeitung, rappelant au passage les pressions exercées par les dirigeants européens lors d’une réunion virtuelle tenue deux jours avant le sommet “dans le but de tenter de dissuader Trump d’accorder le butin de guerre ukrainien à Poutine”. Dans le même temps, l’invitation de Trump à Moscou, formulée en clôture de la conférence de presse (dépourvue de questions des journalistes) par Poutine, semble exclure à court voire à moyen terme le début de négociations trilatérales, incluant le président ukrainien Volodymyr Zelensky. Autre signe “encourageant”, selon le magazine de gauche, “même s’il reste visiblement sensible à la flatterie et à la compagnie de Poutine, Trump a montré qu’il était prêt à couper court [le sommet devait durer 6 à 7 heures d’après la délégation russe] lorsqu’il s’est rendu compte qu’aucun accord n’était en vue.”
Author: Sasha Mitchell
Published at: 2025-08-16 11:09:28
Still want to read the full version? Full article