Pour cela, il utilise des données de casier judiciaire provenant de diverses sources, notamment du service de probation et des données de la police du Grand Manchester avant 2015. Alors que les autorités démentent fermement cette affirmation, l’ONG a présenté un extrait d’un accord de partage de données entre le ministère de la Justice et la police de Manchester qui semble le confirmer. Sofia Lyall, chercheuse chez Statewatch, a toutefois montré son inquiétude : « La tentative du ministère de la Justice de mettre en place ce système de prédiction des meurtres est le dernier exemple effrayant, non scientifique et dystopique de l’intention du gouvernement de développer ce qu’on appelle des systèmes de prédiction de la criminalité.
Author: contact@dailygeekshow.com (DGS)
Published at: 2025-04-19 10:00:00
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