"Là-bas, j'ai pu travailler dans plusieurs grandes salles, faire beaucoup de sparrings de très haut niveau avec des champions anglais et des boxeurs confirmés du top niveau mondial, explique le boxeur belgo-guinéen. Le score large reflète assez bien le combat : j'estime avoir gagné l'ensemble des rounds à l'exception peut-être du dernier où j'étais davantage dans la gestion car on savait que la différence était faite." Sur les traces de son papa Bea Diallo, qui fut champion intercontinental des poids moyens au sein de cette même fédération de 1998 à 2003 et était bien sûr présent dans son coin samedi soir, Ibrahima est peut-être en route vers une très belle année 2026 au cours de laquelle il continuera à défendre son brevet d'invincibilité chez les pros (14 victoires, 2 nuls).
Author: Laurent Monbaillu
Published at: 2025-12-22 16:59:59
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