Et le processus avait déjà été entamé lorsque le PKK avait accepté un cessez-le-feu le 1er mars suite à la prise de parole de d'Öcalan qui déclarait qu'il ne pouvait "y avoir d'autres voies que la démocratie". Si le chercheur est convaincu que l'annonce de la dissolution est "une bonne nouvelle pour la paix", il s'interroge également quant au futur de la lutte du peuple kurde. Il s'attend à des concessions de la part des Turcs, mais peu probable de voir naître "une zone autonome kurde dans le sud-est du pays comme souhaité par le PKK", tempère Emile Bouvier.
Author: Aymeric Debongnie
Published at: 2025-05-12 16:07:55
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