Un Américain de 47 ans vient d’être condamné à plus de 21 ans de prison pour avoir partagé du contenu pédopornographique sur le dark web, un monde souterrain où l’horreur côtoie l’impunité. Pire encore, il affirmait dans des conversations chiffrées avoir lui-même fabriqué du contenu pédopornographique via des chats avec des mineurs, preuve d’un passage à l’acte d’autant plus condamnable qu’il implique une manipulation active de victimes en ligne. Face à une telle hydre numérique, la réponse a dû être internationale : 35 pays ont collaboré sous la houlette du Bureau d’enquête criminelle de l’État de Bavière et de son parquet spécialisé en cybercriminalité.
Author: Damien Bancal
Published at: 2025-04-15 15:13:47
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