Le désarmement du Hezbollah avant fin 2025, un “signal fort” au risque du chaos

Après la guerre civile (1975-1990), le “parti de Dieu” était le seul à avoir conservé ses armes au nom de la “résistance” contre Israël, qui a occupé le sud du Liban jusqu’en 2000. C’est dans le cadre de l’accord de cessez-le-feu, conclu sous médiation américaine, qui a mis fin le 27 novembre à plus d’un an de guerre entre Israël et le Hezbollah, que s’inscrit cet engagement. “Enfin”, la décision “cruciale, chirurgicale et nécessaire” d’attribuer à l’armée et aux autres services de sécurité du pays – en d’autres termes, à l’État – “le monopole des armes”, se félicite le quotidien An-Nahar.