de bonnes raisons pour employer dans certaines circonstances à peu près toujours les mêmes unités, que peut-être une rare élite se laissa river aux devoirs du soldat par un idéal qui ne devait rien aux armes, mais qu’on n’eut pas maintenu à leur place les pauvres gens qui se battaient, ni obtenu d’eux tant d’oubli de soi, de crédulité, de résignation, sans l’esprit militaire qui les livrait à l’engrenage de l’universel consentement. Et puis, parmi les combattants en général, il y a une « rare élite »… Celle-ci est détentrice – comme les grands chefs - de « l’esprit militaire », sans lequel… « on n’eut pas maintenu à leur place les pauvres gens qui se battaient, ni obtenu d’eux tant d’oubli de soi, de crédulité, de résignation, sans l’esprit militaire qui les livrait à l’engrenage de l’universel consentement. La part des masses (enrobée dans l’esprit militaire de la rare élite), c’est donc : l’oubli de soi, la crédulité, la résignation, et le fait de se livrer (de s’abandonner) à l’engrenage de l’universel consentement… à l’universelle boucherie… au profit, bien compris, de la « rare élite » et de ses chefs… car elle en a.
Author: Michel J. Cuny
Published at: 2025-07-09 14:27:41
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