L’appel de Maxime Prévot face à la crise politique : “On ne peut pas casser la maison Belgique”

L’appel de Maxime Prévot face à la crise politique : “On ne peut pas casser la maison Belgique”


Et veillons à retrouver les conditions de la confiance autour de la table du gouvernement, car c'est notre devoir et l'engagement de sérieux que nous avons formulé dès le début de cette législature." À politique inchangée, la dégradation de nos finances en raison de réformes que nous ne ferions pas provoquerait, à terme, une envolée des charges d'intérêt, qui passeraient de 11 milliards à 40 milliards en moins de dix ans. D'abord parce que le costume fait l'homme, mais aussi parce que le Premier ministre s'est rendu compte, dans le contexte de pression internationale que l'on connaît, que "l'attelage Belgique" restait la meilleure garantie de la prospérité, y compris pour le Nord.

Author: Guillaume Barkhuysen, Mathieu Golinvaux


Published at: 2025-11-08 06:00:00

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