Vu l’accumulation de sujets qui fâchent, le Canada, qui accueille depuis dimanche 15 juin au soir le sommet du G7 dans le site époustouflant de Kananaskis – des montagnes qui plongent dans des lacs azur et onze parcs naturels à la ronde – avait prévenu qu’il n’y aurait pas de communiqué final commun. Trop compliqué, si ce n’est voué à l’échec complet, en ces temps de «stop-and-go» de Donald Trump sur les tarifs douaniers et de stop américain tout court sur la guerre en Ukraine même si le président Zelensky est attendu dans les Rocheuses canadiennes. Devrait donc fleurir mardi soir une palanquée de déclarations communes (a priori sept) sur des sujets bien précis, allant de l’économie à l’intelligence artificielle en passant par les incendies de forêt.
Author: Laure Bretton
Published at: 2025-06-16 14:46:26
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