Les attaques ciblant certaines prisons françaises se multiplient depuis la nuit de dimanche à lundi, sans que l’on sache si elles sont le fait d’un même groupe. Après des tirs à l’arme automatique contre le centre Pénitentiaire de Toulon - La Farlède (Var), des dégradations à Luynes près d’Aix-en-Provence (Bouches-du-Rhône) ou à Valence (Drôme), de nouveaux incendies ont éclaté dans la nuit du mardi 15 avril et la mention « DDPF » a de nouveau été taguée dans certains lieux sur des véhicules incendiés. Le groupe, inconnu des services de renseignement français, dispose simplement d’un canal sur le réseau crypté Telegram créé le 12 avril, soit deux jours avant les premières attaques.
Author: Violette Lazard, Romain Sanchez
Published at: 2025-04-16 17:42:42
Still want to read the full version? Full article