La chronique « poches » de François Angelier : André Masson, Adolfo Bioy Casares et Urs Widmer

La chronique « poches » de François Angelier : André Masson, Adolfo Bioy Casares et Urs Widmer


L’aîné, Loys (1915-1969), donnera de la plume et du poing sous l’Occupation comme résistant-poète, tentant de concilier, après-guerre, la faucille et le chapelet, Marx et Marie. Séminariste de passage, le temps d’y ruminer Léon Bloy et les grands mystiques, il optera, à 27 ans, pour le journalisme et la littérature, laissant notamment trois romans chez Calmann-Lévy, dont ce véhément coup de boutoir titré, à la suite de L’Ecclésiaste, Un temps pour mourir (1962). Ajoutons que le cyclone est la matrice du roman d’André Masson, qui tient le pari d’étreindre dans un même roman la tempête intérieure et l’apocalypse météorologique.

Author: François Angelier


Published at: 2025-08-23 17:00:08

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